Cela faisait longtemps n’est-ce pas 😉
Faut dire que longue fut l’attente, et surtout avoir enfin une opportunité d’y aller (financièrement parlant), et pouvoir profiter de ces merveilleuses rencontres entre passionné-e-s de météo. Avant je faisais de façon quasi systématique le séjour sur sa totalité. Ici, c’est -malheureusement- loin d’être le cas, étant donné que je n’ai séjourné que durant 2 jours et demi. Donc formule un peu courte, j’espère pouvoir faire plus long lors de la rencontre hivernale.
Cette rencontre nationale se déroulait à Condom, dans le Gers, et se déroulait du 23 au 30 Juillet 2016. J’y ai pris part du 28 au 30 Juillet (le 30 jour du départ, le matin donc ce n’est pas tellement un jour à compter).
Le 28 Juillet, c’est à Toulouse que nous débarquons, à la Météopole, là où se tiennent les bureaux de Météo-France, ainsi que l’École Nationale de la Météorologie. Visite exclusive réservée à Infoclimat. Après un repas pris au réfectoire de MF, nous commençons la visite. Tout d’abord, le bâtiment qui abrite les prévisionnistes (entre autres).
Donc voilà, comme chaque année sur ce blog, galerie photo du spectacle pyrotechnique du 14 Juillet 🙂
Cette année, celui de la ville de Bergerac, ma ville natale. Un très beau spectacle, avec une musique originale (et pas originale dans le sens «peu commune» mais originale dans le sens «composée pour / dédiée»), le tout entièrement crée et orchestré spécialement par Alban Peyronnet, lui aussi natif de Bergerac. Donc bref : lézimajes !
Depuis mon article de vœux 2016, j’ai pas écrit grand chose. J’ai même rien publié du tout.
Donc non, mon blog n’est pas mort. Ni à l’abandon. C’est juste que bon, la saison hivernale en Dordogne c’est assez ennuyeux. Y a bien eu quelques orages début Janvier (assez étonnant pour un mois de Janvier d’ailleurs), et un temps limite tempétueux. Le fleuve Dordogne était à un moment le centre de mon attention, car celle-ci, par deux, s’est bien gonflée, pour atteindre des niveaux assez impressionnants. Avant de passer aux quelques photos, deux annonces, faites chacune avec un visuel.
Je suis donc chez Flickr, et j’y dépose régulièrement des photos. Je commence à en avoir un certaine quantité, et ça me pousse à mettre le lien vers ma galerie depuis mon blog. Je continuerai les articles photos ici, mais Flickr sera désormais l’endroit où on retrouvera le plus de mes photos dites « ponctuelles ».
C’est donc ici : https://www.flickr.com/photos/66754587@N06/
Mais qu’est-ce qu’elle peut nous vouloir avec son visuel bof et son prénom ?
La question est recevable. Seulement, en arrière-plan, j’ai effectué un travail qui fut plutôt monumental : effacer mon ancien prénom de mon blog. En effet, jusqu’à encore avant-hier, mon ancien prénom demeurait dans un quantité invraisemblable de signatures de photos, recouvrant toute l’année 2011 et une partie de l’année 2012. Le logiciel que j’ai utilisé on en parlera après, car il va nécessiter un paragraphe à lui seul. Mais j’a pu, enfin, modifier TOUTES mes photos et changer le prénom pour l’actuel, tout en conservant le style des signatures utilisées à l’époque. J’ai également travaillé à évacuer mon ancien prénom de tout un tas de productions spéciales (mosaïques MODIS, cartes postales de Mars, etc.). Enfin, j’ai relu l’intégralité de mes articles, pour corriger le genre auquel je m’adressais. De nombreux commentaires furent également modifiés pour remplacer mon ancien prénom par l’actuel. Donc je suis enfin chez moi, chez Damia Bouic 🙂
Le visuel ci-dessus contient toutes les polices d’écritures employées dans mes signatures, et sur mon blog. La Lucida Grande (années 2008 à 2011), la Trajan Pro (D), la Copperplate (a), la Play (m -utilisée pour mes images de Mars), la Rosarivo (i, et les années 2012, 2013 et 2014), et la Raleway Ultra-Thin (a et 2015, 2016, actuellement utilisée).
Je dois vous faire un paragraphe un peu spécial pour un logiciel que j’ai testé, et vite adopté. Il s’agit de l’extraordinaire -et trop peu connu- Darktable. J’étais quelque peu réticente à l’idée de m’en servir car je n’ai pas trouve l’interface très intuitive, et je l’ai trouvé assez déroutante par rapport à mes habitudes sous Gimp. Alors qu’on soit clair-e-s : ce logiciel est avant tout un logiciel orienté traitement de photographie. Ce n’est pas un logiciel d’édition graphique. Pour ça vous avez Gimp, ou encore Inkscape. Non, la puissance de Darktable réside dans sa quantité considérable de modules d’éditions de l’image, de filtres et d’actions sur bon nombre de paramètres. Ce logiciel est non-destructif car toutes les modifications peuvent être annulées d’une simple désactivation du module. Il peut travailler en 8 bits, mais également en 16 bits (et même en 32 bits si je dis pas de bêtises), et il dévoile tout son potentiel avec des images RAW.
Chose très importante aussi, ce logiciel repose sur un logique de modules, qu’on peut sauvegarder en tant que réglages, et qu’on peut retrouver plus tard. On peut les dupliquer. Les empiler. Les appliquer avec des modes de fusion. Bref on peut en faire à peu près tout ce qu’on veut, c’est sans limite.
Il y a aussi la possibilité de travailler par lots, et ça c’est aussi très important, notamment quand on a une quantité importante de clichés, auxquels on veut appliquer toute une suite de réglages comme par exemple la saturation des couleurs, la balance des blancs, la netteté, le réglage des tons clairs/tons sombres… ou bien appliquer un filigrane aux images. Ce qui fut LA solution qui fut salvatrice pour moi, afin d’éditer massivement les images passées de mon blog et enfin changer les signatures !
Bref, Darktable est logiciel vraiment bien, et qu’on trouve ici : http://www.darktable.org
Il est libre, open-source et multiplateforme (sauf la version compilée pour windows qu’on doit compiler soi-même). Si Gimp est l’équivalent libre de Photoshop, Darktable est assurément l’équivalent libre de LightRoom !
Pour finir, quelques images de cet hiver. Parce que bon, Bergerac c’est peut-être pas Byzance mais c’est sympa quand même !
Bergerac c’est avant tout, et surtout, la Dordogne. Omni-présente. Et ses berges offrent des endroits accueillants.
Cet hiver on aura quelques trucs. Comme de la neige par exemple, avec une Dordogne fumante.
De l’orage donc, je disais. Avec ici un bel arcus. Au tout début du mois de Janvier, ouaip !
De jolis crépuscules. Bon, ce n’est que le 3ème que je partage dans cet article hein ^^
Une ambiance, dans le brouillard, près de la Dordogne. Tout près.
En centre-ville également, avec les grandes guirlandes lumineuses qui dégringolent de Notre-Dame :
Et enfin, les variations du niveau du fleuve Dordogne qui m’ont amenée à faire un certain nombre de clichés.
Voilà pour cet article, un peu long je vous l’accorde, mais au final, j’avais quand même des choses à dire et à montrer !
Mon Canon EOS 400D m’a suivi durant 5 années de ma vie. 5 années à me suivre, sous la pluie, la neige, la grêle, l’orage, le vent, les embruns salés, la canicule, le brouillard, le givre, le ciel nocturne. Mais aussi sur les toitures, dans les souterrains, dans des espaces abandonnés. Mais également au bord de mer, à la montagne, dans les villes, les villages, les campagnes, les forêts, les champs. 5 ans de compagnie. Depuis Janvier 2010. Il a pu être le témoin de mes dernières années en école des Beaux-Arts. Le témoin indispensable de ma transition. J’ai pu le pourvoir d’un objectif ultra-grand angle Sigma 10-20 mm.
Ces 5 ans avec mon 400D c’est :
Mais hier, à ma grande surprise, sans signes avant-coureurs, je retrouvais l’appartement avec deux cadeaux de mon chéri :
Un 70D… Mon chéri est incroyable. Juste. Incroyable. Cadeau, comme ça !
Autant vous dire que cet appareil photo c’est juste de la bombe. Je passerai sur les nouveautés par rapport au 400D. Le mode vidéo full HD, l’écran escamotable et tactile multitouche, des ISO en veux-tu en voilà, le mode HDR, le Dual Focus, et tout un tas d’autre choses. Je passe d’un capteur 10 mpx à un capteur 20 mpx. Bref : un boitier qu’il est sérieux qu’il en a dans le ventre !
Maîtriser la bête ne fut pas totalement aisé et je suis encore en train de prendre mes marques à l’heure actuelle. J’attends de pouvoir faire de vraies sorties pour exploiter son plein potentiel. Et j’ai le temps 🙂 Mais toutefois, ma petite revue en quelques clichés obtenus avec ce nouveau bestiau.
J’ai réellement hâte de le tester sur trépied sous un ciel nocturne, pour voir si je peux obtenir la Voie Lactée avec le mode ISO élevé. Hâte également de filmer des orages de jour afin de saisir des impacts de foudre diurnes. Hâte de faire tout un tas de choses en fait…
Voilà, désormais, mes photos seront faites avec ce beau boitier, offert amoureusement par ma moitié 🙂
Ma dernière exploration urbaine remonte à Septembre 2012, quand, à Saint-Nazaire, j’avais escaladé une grue portuaire.
Le manque, ainsi que la motivation de mon chéri à vouloir prendre de la hauteur comme je le faisais avant, ont fait que cette nuit on a décidé de s’attaquer à une grue, située dans un quartier pavillonnaire à Dijon, proche de l’Université.
J’avais presque oublié la jubilation de la montée de l’échelle centrale, la prise de hauteur qu’on ne remarque pas tout de suite. Et puis l’arrivé là-haut, où le panorama est saisissant.
Allez, les images !
Hé oui, 7 ans déjà ! Crée en 2008, mon domaine et le blog associé viennent de fêter leur 7 ans. Ce blog a vêtu plusieurs apparences (ou designs), vécu plusieurs périodes de visites très importantes du fait d’une actualité météorologique, astronomique ou spatiale brûlante. L’occasion de traduire db-prods.net en chiffres.
• Le blog : 240 000 visites depuis la création. 5164 vues en une seule journée, record absolu (23 Juillet 2009). 557 commentaires. 548 articles.
• Le domaine : 1 308 000 visites depuis la création. Avec une moyenne de 560 visites par jour (900 visites/jour sur l’année 2015). Et près de 4 millions de pages vues !
Le blog reste la partie du domaine la plus consultée, MarsroversImages vient en second.
Voilà pour ce petit point statistique avec des chiffres qui personnellement m’étonnent encore.
Pour ces 7 ans, j’ai décidé de partager des photos que j’avais dans mes archives et qui prenaient la poussière numérique. La plupart sont inédites, n’ont jamais pu figurer dans l’un des articles présents sur ce blog. D’autres articles viendront compléter celui-ci afin de garnir cette galerie d’images appelée db-prods Les Inédits. La période va de Février 2007 à Juin 2009. Toutes ces photos furent prises avec mon ancien bridge numérique Kodak Easyshare ZD710, qui m’a accompagnée durant plein d’évènement astro, météo, etc.