Aujourd’hui, après m’être enfin installé dans mon studio, j’ai pu profiter -entre deux formalités administratives et un rendez-vous pour mes « minors »- d’une journée en partie ensoleillée (quelques averses peu avant midi).
Bon, j’envoie les photos 😉 .
A droite, la modernité côtoie des styles plus anciens (sans doute un bâtiment rescapé de l’immense bombardement durant la Second Guerre Mondiale).
Je joue avec le Soleil, j’en profite car ça ne devrait pas durer. Notez le bâtiment « crayon » à droite, près du lotissement « kubus ».
Les couleurs d’une fin de journée.
Eh bien voilà, j’y suis, après un long voyage en bus assez éprouvant (je suis en train de rédiger le récit de ce voyage, qui devrait être à la mesure de ce voyage 😉 ).
Donc quelques photos du « site d’atterrissage ». Il faut faire connaissance d’une nouvelle ville.
Une station de métro, en périphérie de la ville, là où je suis provisoirement hébergée. Le métro arrivera pile à l’heure.
Et la station d’arrivée : la Centraal Station de Blaak, tout près de l’école Willem de Kooning Academy (WdKA dirons nous par commodité). On a déjà un aperçu des volontés esthétiques de cette ville ultra-moderne.
Et en me retournant, j’ai vu ça : les « cubic houses », datant de 1984, imaginées par l’architecte Piet Bloom. Vraiment, de très étonnantes constructions.
Et dans l’après-midi, une petite balade près de l’eau. Rotterdam ne s’arrête pas de croître. A droite, le pont Erasmus qui est selon moi un vrai bijou esthétique et architectural.
Approchons nous et allons sur le pont.
Oui, je sais, c’est pas bien de regarder entre les jambes d’un pont 😀 . A la fois, ça donne envie, non? 😉
Sympa cette « petite » structure filaire.
Aujourd’hui, je suis parti faire un petit tour (pas tellement pour le plaisir, mais pour aller voir si je pouvais retirer de l’argent liquide). Cela m’a permis de voir les maisons du quartier résidentiel dans lequel je suis.
Et tout cela dans un rayon de 800m à peine. En effet, chaque quartier à sa propre typologie de maison, mais avec le même matériau de base : des briques rouges. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que Rotterdam s’appelle Rotter-dam, la ville rouge. La dernière photo en bas à droite est là où je suis. Mais demain, je récupérerais les clés de mon studio. Ce sera donc fini le quartier résidentiel.
Dimanche 19 Octobre 2008. A l’occasion d’une randonnée avec des membres d’Infoclimat dont l’étape était d’aller au sommet du Mont Puget, il m’est venu l’idée de faire ce que j’appelle une « super-mosaïque », tout comme pour le Mont Puget lui-même, depuis ma résidence universitaire.
Cliquer sur la miniature pour avoir accès à cette mosaïque via un « zoomify » et avoir tous les détails techniques.
Assez inspirée par le générique de Panic Room où l’on voit le noms des acteurs et des principaux créateurs de ce film flotter dans la ville de New York, dans une incrustation très bien effectuée, je me suis décidée à entamer une série d’images prise sur Marseille pour un premier temps dans lesquelles on aurait les noms des bâtiments, constructions, etc. disposés sur eux-même. Pour l’instant, il n’y a que 3 images. La première est de la simple 2D vectorielle. Les deux autres proviennent d’un premier travail dans Blender suivit d’une incrustation dans Gimp.
Il à noter que cette image sera reprise, avec plus de noms.
Dans mon projet Marseille-Bergerac, je suis passée par la ville de Nîmes et y ai déposé quelques tags (triangles jaunes et QRCodes). En regardant le dispositif spécial mis en place par Google pour le Tour de France 2008 : Street View, j’ai remarqué que certaines rues de Nîmes ont été quadrillées. Street View permet de visionner les rues comme si on y est, par le biais de petits panoramiques genre Quick Time VR.
J’ai epluché quelques vues faites de lieux où j’ai mis mes tags. Et ils y sont toujours!
Les planches explicatives accompagnées de mes propres photos de ces petits éléments autocollants.
Et bien moi, je trouve ça génial de retrouver des éléments que l’on a collé il y a plusieurs mois via l’Internet 🙂 .