Juste deux images, montrant qu’en ce moment le Soleil se couche presque dans l’axe du boulevard, diffusant une belle lumière orangée.
Au rond point de Mazargues plus précisément, que l’on nomme également « L’Obélisque » étant donné la présence d’un tel édifice.
Cet endroit est sympa car on a un point de vue privilégié sur tout le Boulevard Michelet ainsi que l’Avenue du Prado, soit 4 km de rue rectiligne au total, jusqu’à la place Castellane. Mais derrière, s’étire la Rue de Rome, le Cours Belsunce, jusqu’à la Porte d’Aix, pratiquement à l’autre bout de la ville. Tout ceci sur une ligne parfaitement droite.
Tout d’abord le rond-point avec l’Obélisque à droite (pour la petite histoire, cet édifice était situé sur la place de Castellane, puis a été déplacée à l’occasion de la prolongation de l’Avenue du Prado en direction de Mazargues via Michelet). A gauche de l’image, un immeuble d’habitation qui possède la particularité d’être bâti dans la même roche que celle de l’Obélisque. Image de droite, le boulevard Michelet et l’Avenue du Prado en large champs.
Vues à 200 mm (soit le zoom maxi que peut me procurer mon objectif). Celle de gauche effectuée depuis le premier passage piéton qui enjambe le boulevard, et la seconde depuis le rond point, au pied de l’Obélisque. Les bons yeux pourront chercher le monument de la place Castellane, ainsi que la Porte d’Aix.
Mais une vue labellisée, à 100% c’est mieux pour s’y retrouver.
Allez, un peu d’urbex. Je n’en avais pas fait depuis que j’avais rendu visite des usines abandonnées à Creysse l’an dernier.
J’ai rendu visite à une grue située sur un gros chantier Boulevard Baille. La vue y est tout simplement impressionnante.
C’est donc par une petit fraîcheur d’automne (11°C) et un Mistral bien présent que j’y suis allée. Pas forcément les conditions idéales mais cela ajoute une certaine ambiance. Le Bestiau avec moi, j’ai pu prendre un certain nombre de clichés.
Vue depuis la passerelle menant vers le moteur du treuil, et les contrepoids en béton. A droite, vue au travers des treillis métallique en direction de la flèche de la grue. Notez durant la pose le filé des lumières urbaines, du au fait que le vent faisait légèrement osciller la partie supérieure de l’engin, placé en mode « girouette » (pour des raisons de sécurité évidentes car sinon, le vent pourrait faire tomber tout l’ensemble).
Le Boulevard Baille qui s’étire en direction de la place Castellane, tandis que Notre-Dame de la Garde est illuminée par les projecteurs sur sa colline.
Version panoramique « faux 10 mm » (3 vues verticales assemblées).
Autre faux grand angle (4 vues assemblées), montrant une partie de la grue et le boulevard.
Panoramique complet depuis le côté contrepoids de la grue. Fort peu évident à faire étant donné l’instabilité du « sol » et du vent omniprésent. L’assemblage sous Hugin n’aura pas été amusant non plus.
Lightpainting au sommet (au bout de 6 essais peu convaincants). A droite, je me suis assise sur le siège de la nacelle. Grutier, ça doit être pas mal du tout comme job.
Vue panoramique de l’intérieur du « vaisseau spatial ».
Je décide de descendre mais je m’aperçois de quelque chose. La Lune s’apprête à se coucher, et pas n’importe comment : pile dans l’axe du Boulevard Baille, avec ND de la Garde à sa droite. Je décide de prolonger un peu la visite. La dernière vue de la série, faite à 200 mm a été plutôt difficile à obtenir, et elle n’est pas parfaite.
Je fini par redescendre du vaisseau-grue.
Et le laisser en compagnie des étoiles.
Voilà, pour partager quelques photos que j’avais égaré sur mon disque dur. Datant toutes du mois d’Août de cette année.
Séance d’IR à la Gare Saint-Charles de Marseille.
Depuis le haut du Grand Escalier donnant sur le Cours Lieutaud. Et depuis le parvis situé juste derrière.
A l’intérieur de la gare, 2 minutes de pose, visibles sur l’aiguille des minutes de l’horloge à gauche.
Ambiances lors d’un orage quasi-stationnaire en mer très tôt le matin du 14 Août.
Depuis le Belvédère du Parc des Calanques du Sugiton.
Et depuis Luminy, après que le front orageux se soit enfoncé dans les terres. Ciel tourmenté.
Et encore une série de clichés IR. Décidément je ne m’en lasse pas !
Petit tour donc par Gravendijkwal où j’ai fait la rencontre avec cette facade de maison assez tordue. Jugez-en par vous même ! Examinez les fenêtre.
Dans la même rue mais plus bas passe une autoroute, en plein milieu mais en contre-bas. A droite, au Het Park, qui se situe au pied la tour Euromast. Durant la pose, j’ai surpris la nacelle ascendante (et rotative) qui parcours le mât en montant puis descendant (Euro-Mast > Mast… vous avez pigé ?)
Je fais une pose et une pause au restaurant de gauche sur l’image de droite (mind = blown).
Après avoir bien cassé la graine, je gagne la berge avec vue sur l’Erasmusbrug et Wilhelminaplein. A droite, « sous-bois » dans Parklaan.
Le petit port de Veerhaven (pléonasme car « haven » veut dire port). Puis à droite, vue que vous commencez déjà à bien connaître sur le pont Erasmus. Particularité, il s’agit d’une pose de 4 minutes ! Utilité : obtenir un filé de cirrus et une effacement presque total de la circulation humaine.
Voilà, demain, je part pour Lille. Ville qui m’est inconnue mais que je compte un peu visiter.
Jour 4 oui, car le jour 3 c’était celui des NLC.
J’ai baroudé avec mon Bestiau fièrement et récemment pourvu d’un filtre infrarouge. Voici le résultat de mes prises de vues. Pose de 30 s à chaque image (100 iso, ouverture variable). 18 mm et deux zooms à 50 mm.
Décidément, j’aime beaucoup les ambiances que ce filtre IR crée. De plus, la longue pose a pour effet de « vider » les rues.
A Beurs, place très agitée, avec énormément de monde.
Le centre de Rotterdam avec la véritable artère que constitue Coolsingel.
Mais Beurs (le centre Bourse en fait) se prolonge de l’autre côté de Coolsingel. A droite, un quartier assez vieillissant en retrait de Beurs.
Petit tour du côté de Blaak, avec la Willem de Kooning Academy, l’école que j’ai fréquenté lors de mon séjour Erasmus l’an dernier.
Direction le Willemsbrug pour y prendre une vue de Rotterdam, au dessus de la Maas.
L’Erasmusbrug. A droite, verdure du côté de Westesingel.
Plan d’eau et herbes du côté de Eendrachtsplein. Le contraste est violent.