Dans la nuit du 9 au 10 Avril, je suis sorti avec mon trépied et mon fidèle bridge Kodak rafistolé pour photographier mon environnement urbain sous la Pleine Lune.

Allez hop, les images!

Tentons du High Dynamic Range de façon à avoir clairement la Lune (et ses mers!) ainsi que les quelques vaporeux nuages d’altitudes baignés des lumières de la ville.

Quand on n’a pas d’objectif très grand angle, faut bien ruser. Ici, panoramique de 4 images pour avoir les piles du Willemsbrug parfaitement (y a quelques défauts de mise au point par contre dont je me suis rendu compte qu’après coup).

Traitement HDR de la Lune au travers des suspentes du pont.

Un endroit paisible près de l’eau.

A Rotterdam, les ambitions ne manquent pas, comme de construire un gigantesque immeuble visant à relier la Terre à la Lune.

Rotterdam, ville portuaire.

Quelle surprise de voir qu’à 1h du matin, le pont Erasmus s’est éteint, ce qui permet de profiter du reflet de la Lune sur les suspentes de l’ouvrage d’art.

Entrons sur le pont.

Immeubles du quartier de Wilhelminaplein.

Pour finir, un panoramique depuis le pont Erasmus.

Version haute-résolution (992 Ko)

Pour cela, rien de tel qu’un bandeau comme ceux qu’on trouve autour des scènes de crimes 😉 .

Bah oui, j’aime pas Facebook, et je n’y suis même pas inscrit. Ça vous étonne? 😀

get Article a ete ecrit depuis in ipod touch, etonnant non?

Depuis un certain temps, je conserve des informations, des données parcellaires sur un système solaire exotique. Je crois qu’il est temps d’en délivrer une partie (il me reste encore des quantités considérables de données à restaurer, retrouver, recréer).

Ici, un document relatant l’historique des découvertes de Satrinia :

Un article de Ciel&Espace datant de 2018 :

La toute première vue de Saturnia, alors encore dénommée « HIP 21010d », prise par l’Exo-Earth-Imager :

Et des documents vraiment très précieux, les originaux des Exocartographies de l’époque montrant les premières cartes de Saturnia2, Saturnia3 et Saturnia4.

D’autres documents devraient pouvoir être mis en ligne.

En France, dans la plupart des supermarchés, les gâteaux sont de taille assez ridicule, et accompagnés d’un prix qui frisent l’insolence.

Ici, j’ai re-découvert deux variétés de gâteaux assez étonnantes : le Stroopwafels et le Speculoos.

La définition de Wikipédia :

La gaufre hollandaise ou stroopwafel est une pâtisserie originaire des Pays-Bas. Stroopwafel signifie littéralement « gaufre au sirop » en néerlandais. Le stroopwafel est composé de deux morceaux de gaufre fourrés au sirop de caramel. L’ensemble est circulaire, fait dans les 6 à 8 centimètres de diamètre et environ quatre millimètres d’épaisseur.

Les stroopwafels sont une spécialité originaire de Gouda aux Pays-Bas, où ils auraient été inventés en 1784, quand un boulanger de la ville aurait rassemblé des miettes et autres restes d’épices afin de les noyer dans un sirop de caramel, pour ensuite les fourrer dans une gaufre coupée en deux. Dans leur ville d’origine, on vend les stroopwafels frais sur le marché ou dans des boutiques.

Et pour les déguster, rien de tel que de disposer le stroopwafel en recouvrement sur une tasse de thé, de café ou de chocolat, comme vous voulez, et de patienter quelques minutes. Les vapeurs aromatisées imprègnent le biscuit et le ramollissent au passage. On peut facilement le déchirer et le déguster.

C’est un gâteau très économe en ces temps de crises : 0.78€ le paquet de douze stroopwafels. Diamètre : 8.6 cm environ, pour 5 mm d’épaisseur. Deux ou trois suffisent pour être rassasiés au petit-déjeuner.

Et l’autre gâteau, c’est le speculoos. Un très bon document très renseigné à ce propos : http://www.univ-lille1.fr/pfeda/iaal/docs/iaal2003/spec/speculos.pdf

Mais quelle ne fut pas ma surprise en découvrant des speculoos de taille GEANTE! De vrais mutants du monde patissier.

Vous pouvez voir ça sur les deux photos suivantes (avec sur la première, le « set-up » pour déguster les stoopwafels)..

Et une fois le paquet ouvert 😀

Un truc véritablement dingue : 18 x 13.5 cm! Sur une épaisseur moyenne de 0.8 cm. Par paquet de trois, ils coûtent 0.75 €. Je crois que c’est la première fois que je vois des gâteaux aussi grands, et pour un prix vraiment bas.

Voilà, c’était me petit intervention gastronomique. Je crois qu’il y a pas mal de choses à dire à ce propos 😉 .

Aujourd’hui, j’ai pris en photo mon bureau pour y inscrire le mot « Espaces ». Et cela donne ceci :