Chez Damia Bouic

Détails supplémentaires sur les Gardiens des Anneaux

Aucun commentaire • Expédié le 31 mai 2009 à 21:58 dans CapharnaümLes Anneaux

Diamètre maximal de chaque gardien :

Inti : 1832 m

Kon : 530 m

Cocha : 1002 m

Pacha : 850 m

Quilla : 480 m

Pachacamac : 1224 m

Zara : 321 m

Urcaguary : 257 m

Comme il est difficile de bien retenir les noms des gardiens, et dans l’ordre, dans les écoles, cette phrase mnémotechnique est apprise par coeur :

« Impossibilité du Karma à Comprendre les Petites Qualités Primaires du Zèle Universel »

D’autres préféreront cette phrase moins obscure :

« Interdiction pour Karine de Correspondre avec Paul et Quentin de Paris car elle habite à Zurich Uniquement »

On peut encore apprendre simplement les premières lettres : IKCPQZU ou bien l’équivalement numérique 9-11-3-16-17-26-21.

Astronomie Populaire de Camille Flammarion – extrait


Les Anneaux – Bref historique

8 Commentaires • Expédié le 30 mai 2009 à 18:05 dans AstronomieCapharnaümLes Anneaux

Historique des anneaux de la Terre.

Ceux-ci sont en fait vraiment très jeunes dans l’histoire de la Terre puisqu’ils apparaissent au XVIIIè siècle.

C’est au mois d’Août 1762 que la plupart des peuples de la Terre assistent à l’accroissement spectaculaire de luminosité d’une « étoile ». En quelques semaines, elle devient aussi brillante que la Lune. Son déplacement devient alors perceptible. William Herschel calcule que c’est un astre proche, et observe qu’il est irrégulier. Il calcule aussi ses données orbitales, mais ne parvient à résultat correct. En effet, l’astre s’est mis sur orbite autour de la Terre mais pas sur une orbite classique. Joseph Louis-Lagrange révélera qu’en fait cet astre ne va pas suffisamment vite pour rester sur une orbite stable et que celle-ci l’entraînerait à chuter sur la Terre. Mais le Roi Louis XVI craignant de voir des émeutes ordonne à Lagrange de ne pas révéler la finalité de ses calculs. La seule version officielle étant celle de l’apparition d’une nouvelle Lune. L’astre sera nommé le Lunoïde en raison de son apparence lunaire déformée.

En Février 1763, quelque chose d’inattendu se produit. Le Lunoïde se fragmente en une sorte de nuage étincelant. En l’espace de quelques jours, celui-ci occupe une grande partie de l’équateur céleste. Ce n’est que le 18 Mars de la même année que le « nuage » accomplit un tour complet de la Terre.

Chez les astronomes, on ne comprend pas trop ce qui a bien pu se passer. On imagine qu’il a passé une zone dans laquelle les corps sont brisés. Mais le mécanisme reste encore bien mal expliqué.

Les mois passent, et le « Nuage Lunoïde » (tel est son nom) devient de plus en plus lisse. Des sillons plus sombres apparaissent dans certaines zones, et d’autres plus clairs.

En quelques années, la structure prend l’aspect de véritables anneaux encerclant la planète entière, sur le plan de l’équateur.  C’est d’ailleurs ainsi qu’ils seront appelés. Les Anneaux.

Le parallèle sera vite fait avec les observations de Saturne qui montrent aussi ce qui semble être un système d’anneaux.

De très fines structures sont rapidement observées dès le début du XIXème siècle de même que plus aucune évolution n’est constaté.

Les grands anneaux sont nommés avec l’alphabet grec, de alpha en partant de la bordure extérieure, jusqu’à gamma pour la bordure intérieure. Les divisions sombre sont elles nommées en fonction des continents du monde connu, avec les nominations latines. En partant du bord externe, il y a Africa, América, Asia, Europa et Océania.

En Avril 1813 sont découverts les premiers petits satellites gardiens. Ils n’avaient pas été remarqués auparavant pour des raisons inconnues. Peut-être se sont-il formés après coup?

Au final, en 1820, huit « Gardiens » sont totalisés. Ils recevront en 1824 les noms de leur division associée ou anneau. Il y a aura donc : Alpha 1, Africa 1, Africa 2, America 1, America 2, Asia 1, Europa 1 et Oceania 1.

Ce sont des noms provisoires.

Les météorologues de l’époque constatent que le temps est globalement plus froid que lors des périodes d’avant les Anneaux. En effet, il n’est plus rare de voir d’importantes chutes de neige en hiver, et les gelées se prolonger jusqu’en Avril dans les plaines. Cela sera imputé à l’ombre des Anneaux qui couvre annuellement une partie de l’Europe du Sud et de l’Afrique du Nord, masquant une partie du Soleil et bloquant l’arrivée de chaleur. Par réaction, les étés -souvent caniculaires- sont le spectacle d’orages parfois d’une rare violence. C’est ainsi que le 18 juillet 1873, une tornade de forte puissance traverse la ville de Paris occasionnant de nombreux dégâts et pertes humaines. Cet épisode restera dans les annales et il fut ordonné de construire des chemins d’accès rapide aux nombreux souterrains qui parcourent le sous-sol de la ville afin d’évacuer rapidement tout un quartier en cas de nouvelle tempête.

Les Grandes Plaines des tous jeunes Etats-Unis sont pratiquement désertées à cause du trop grand nombre d’orages au printemps et en été, et du froid intense qu’il y règne dès le mois d’Octobre.

Cela n’est qu’un aspect de l’impact des Anneaux sur la Terre. Mais nous nous éloignons de l’aspect strictement historique des Anneaux.

Edouard Roche parviendra a expliquer et à démontrer en 1850 le rôle des marées lors de la dislocation du Lunoïde. Selon lui, les forces gravitationnelles en jeu étaient telles qu’arrivé à une certaine limite (qui porte depuis son nom), le satellite s’était brisé en une myriade de fragments pour former un système d’anneaux.

L’écrivain Jules Verne fait rêver des millions d’enfant (et d’adultes) avec son Poursuites Sur les Anneaux sorti en 1885.

En 1901, à l’occasion de l’entrée dans le XXème siècle, les astronomes décident de nommer, après maintes concertations, les Gardiens en fonction de divinités Inca. Il y aura donc, par ordre du plus éloigné au plus proche : Inti, Kon, Mama Cocha, Mama Pacha, Mama Quilla, Pachacamac, Mama Zara et Urcaguary.

Les études sur les Anneaux atteignent leur paroxysme lors des années 1910. Les instruments deviennent de plus en plus performant. Camille Flammarion sortira en 1911 un ouvrage entièrement consacré et régulièrement réédité : Le Chant des Anneaux. Il fait figure de référence, même à notre époque, surtout en matière d’illustrations .

Les 2 Guerres Mondiales vont stopper un temps l’étude des Anneaux qui occupe désormais un vrai pan de la discipline astronomique. Il ne fait plus de doute à cette époque que les anneaux terrestres et ceux de Saturne ont beaucoup de chose en commun.

Le 4 Octobre 1957 est envoyé dans l’espace le premier satellite artificiel Spoutnik. Cela lance le départ de la conquête spatiale. Avec deux objectifs à moyen terme : explorer les Anneaux et se poser sur la Lune.

Le premier objectif sera atteint par les Russes le 16 Février 1967 avec l’envoi incroyablement précis pour l’époque d’un vaisseau Soyouz habité au travers de la division d’Océanie. Cela était un pari risqué car les particules composant les Anneaux auraient pu perforer la coque du vaisseau. Nouvel exploit sera accompli le 24 Avril 1967 avec l’envoi d’un vaisseau Soyouz au travers de la division d’America. Cela fut vécu comme une véritable humiliation pour le gouvernement Américain.

Et puis le drame arriva. Le 19 Octobre 1967, une fausse manoeuvre dévia de quelques kilomètres un vaisseau Soyouz et l’expédia droit dans l’anneau Beta. Celui-ci fut perforé en de nombreux endroits. Les fuites d’air déstabilisèrent le module et le firent rentrer sur une trajectoire d’écrasement sur Terre, au niveau du Pacifique Sud. L’exploration des Anneaux, même si elle ramenait de belles images et quelques informations nouvelles sur leur structure, était trop dangereuse. Il comptait d’aller sur la Lune. C’est ainsi que le 4 Janvier 1968 se posa Apollo 9 sur le sol lunaire.

Des sondes automatisées furent envoyées avec succès sur les Gardiens et apportèrent de belles images des Anneaux. Il fut constaté par exemple que des particules passaient dans les divisions pour aller d’un anneau à l’autre lors du passage d’un Gardien.

Quelques missions dont on se souviendra :

Ring Explorer II (USA), 1971, un orbiteur introduit dans la division Europa ;

Ring Explorer V (USA), 1973, un orbiteur introduit dans le division Asia ;

Koltso 6 (URSS), 1972, un orbiteur introduit dans la division Oceania ;

Pachacamaca 3 (URSS), 1978, un atterrisseur qui se posa sur le gardien Pachacamac ;

Guardian Explorer Mission 1&2 (USA), 1983 se posèrent simultanément sur Mama Quilla et Mama Pacha afin d’effectuer des mesures optiques des anneaux.

Mais l’exploration de la planète Mars fit retomber l’intérêt dans les Anneaux.

La mission Cassini-Huygens (Europe-USA) en 2004 révéla une structure des anneaux de Saturne identique à ceux de la Terre, à ce détail près que les anneaux de Saturne sont nettement plus larges et diffèrent question composition. Les Anneaux sont exclusivement rocheux, des silicates pour la grande part, du fer et quelques métaux rares, alors que ceux Saturne possèdent une grande quantité de glace.

as8-14-2383hr-ringed-earth-medresparanalplanets-240605_guisard_ringed-earthsgu-moon_eclipse_070303-v4-s-cp8_ringed-earth

A gauche, image de la mission Appolo 8 avec une vue magnifique sur la Terre cerclée des Anneaux.

A centre, image de Stéphane Guisard faite à la fin du mois de Juin 2005, montrant une conjonction des Mercure, Vénus et Saturne au travers des Anneaux sur la silhouette du VLT. On voit les Anneaux de leur côté ombre. A droite, toujours une image Stéphane montrant un chapelet de l’éclipse totale de Lune du 3 Mars 2007, et les Anneaux resplendissants. Un traitement spécial à permis de fixer la Coupure des Anneaux à un seul endroit (afin d’éviter une multiplication des coupures).

Terre aux anneaux – suite

Aucun commentaire • Expédié le 29 mai 2009 à 14:31 dans AstronomieCapharnaümLes Anneaux

Caractéristiques physiques des anneaux de la Terre :

– bordure externe : 15 030 km

– bordure interne : 9797 km

4 anneaux principaux.

Anneau α, le plus externe, composé de 3 fins anneaux dont le plus large est le plus externe ;

Anneau β, le plus large, au centre, et surtout, le plus dense ;

Anneau γ, plus près, plus fin, mais bien séparé du β. Se caractérise par des couleurs plus ocres ;

Anneau δ, le plus diffus et le plus interne de tous.

5 divisions principales :

Africa dans l’anneau α ;

America, dans le même anneau ;

Asia, qui sépare α de β ;

Europa dans la zone externe de l’anneau β ;

Oceania, qui sépare l’anneau β de γ.

Des satellites gardiens les accompagnent. Ils sont essentiels car ils apportent la stabilité dans les anneaux et sont aussi responsables des divisions observées dans ceux-ci. Ils sont au nombre de 8. Leurs noms ont été empruntés à la mythologie Inca.

Du plus externe au plus interne.

Inti, situé à l’extérieur de l’anneau α;

Kon, situé dans l’anneau α et qui encadre avec Inti le plus gros anneau de cette partie ;

Mama Cocha, dans l’anneau α ;

Mama Pacha, dans le même anneau et qui encadrent un fin anneau ;

Mama Quilla, même anneau ;

Pachacamac, à la séparation entre anneau α et β ;

Mama Zara, dans la division d’Europa ;

Urcaguary, dans la division d’Oceania.

Et une planche montrant de façon précise la structure des anneaux.

schemastructurel

endofdayonrotterdam-13feb09-ringe-earth

anneaux-daylight-rotterdam

La Terre avec des anneaux

Aucun commentaire • Expédié le 28 mai 2009 à 22:10 dans AstronomieCapharnaümLes Anneaux

Il y a longtemps, j’avais un fantasme, voir la Terre entourée d’un système d’anneaux. Je ferais un article plus détaillé sur les conditions physiques d’un tel système autour de notre monde, et plus particulièrement sur l’impact visuel, esthétique, astronomique voire météorologique. Donc je pense faire de nombreux photomontages pour illustrer mes propos dans ce fameux article plus détaillé.

En attendant, une vue spatiale avec Hubble et les anneaux en arrière-plan. Ce sont ceux de Saturne à la base, mais j’en ferais des plus adaptés et un peu plus différents pour la Terre.

350142main_fd9-release2_-ringed-earth-desktop

J’ai installé un système d’anneaux dans Celestia. Je les ai fait d’une teinte légèrement différente et surtout avec une structure différente de celle des anneaux de Saturne. Voici quelques captures d’écran.



null

Rotterdam – « Richting West »

Aucun commentaire • Expédié le 21 mai 2009 à 23:46 dans CapharnaümRotterdamUrbanité

C’est en tout cas la direction qu’il faut prendre en métro pour aller visiter des coins comme Delfshaven, Coolhaven ou encore le quartier de Schiemond.

Il y a en effet d’intéressantes choses à voir de ce côté là, avec le même contraste entre modernité et ancien.

Tout d’abord une vue sur la rue de Schiedamseveg. En m’y promenant, j’avais la sensation de me retrouver dans un film américain paradoxalement, une rue de Chicago ou de New-York. Déformation culturelle sans doute…

100_8234100_8236

J’ai ensuite rendu visite au port de Voorhaven qui fait vraiment typiquement Hollandais.

100_8237100_8238

100_8239100_8241

100_8243

Un arrêt en face d’un monument désormais classé : la Diepeveen Tower. Datant de 1930, bâtie par l’architecte W. Kromhout. Les lettres qui composent le nom de la tour sur la façade sont en céramique. C’était un bâtiment d’habitations et bureaux.

100_8244100_8245100_8246

100_8247

Juste avant de vous présenter quelques bâtiment du quartier de Schiemond, je voudrais vous montrer cette photo :

100_8250

Sous les pavés, il y a le sable. En effet, toute la ville est construite sur du sable. Et c’est le cas pour la plupart des villes proches de cours d’eau et de la mer. De nombreuses zones on du être drainées pour augmenter la surface habitable, avec la technique de la poldérisation. Ce qui fait que le dessin de la côte et des cours d’eau a été bien bouleversé depuis les interventions de l’homme.

Bon, alors maintenant, Schiemond. Tout d’abord le Shiecentrale-4b. Avec les touches de clavier sur une façade! Non, je plaisante, mais c’est vrai que cela y ressemble. C’est un complexe d’habitations, de bureaux et de commerce, abritant même une école. On voit que les idées de Le Corbusier ne se perdent pas. L’architecte de ce complexe est Robert Mei.

100_8249

J’ai collé deux triangles jaunes au fait sur des objets de la terrasse de ce bâtiment (accessible via l’escalier visible sur la photo).

100_8254100_8255

Les jumelles étaient -chose étonnante- en accès libre, et utilisables gratuitement. Un petit clin d’oeil au passage pour deux anciens des beaux-arts de Marseille en design, ils sauront se reconnaître s’ils passent par ici.

Une vraie bizarrerie qu’est ce bâtiment là. C’est le STC Rotterdam, une école spécialisée dans les études maritime. La forme globale de ce bâtiment peut se voir comme un immense périscope. Très récent puisque terminé en 2005. Cabinet d’architecte Neutelings Riedijk.

100_8257100_8261

Ensuite un autre bâtiment, le Rotterdamsche Lloyd, qui date de 1922. Ce bâtiment servait à traiter les milliers d’émigrant à destination des Indes Orientales (alors colonie Hollandaise). Il abritait des logements et des bureaux et c’était l’ancien siège de la Royal Rotterdam Lloyd, une compagnie maritime.

100_8260

Sommes-nous dans une tour de verre (et de cristal pour ne pas fâcher Bruce)? Non. Nous sommes dans les anciens entrepôts de la compagnie maritime de Rotterdam (1912), restaurés et transformés depuis en immeuble d’habitation et de commerces. Il s’appelle Jobsveem et a été conçu par l’architecte Mei, en collaboration avec Wessel de Jonge, architecte également.

100_8268100_8269

100_8270

En cours de chemin, un tube qui traverse un mur. Pourquoi pas?

100_8271

Une vue de la tour Witte de With. Tour multifonctionnelle abritant un hôpital, et divers centres médicaux spécialisés, mais aussi des salons de beauté et même une école. Encore un bâtiment « couteau-suisse ». En arrière-plan, la Euromast Tower, dans laquelle je grimperais.

100_8272

Mais juste avant, je suis tombé en arrêt devant une forme que je connais bien : une coupole d’observatoire. Il semblerait que ce soit en fait un lycée ou une fac de science. J’y reviendrais les jours d’ouverture.

100_8274100_8275

Ici, une construction des années 30 rénovée abritant un théâtre. Ce bâtiment s’appelle le OT Theatre Rotterdam. Les lettres SVZ se rapportent au nom d’un syndicat de travailleurs marins de l’époque. Elles ont été conservées depuis.

100_8277

Et maintenant, direction l’Euromast histoire de prendre un peu plus de hauteur. Cette tour mesure 184 m de hauteur et permet au visiteur de profiter d’une vue imprenable sur tout Rotterdam. Plus vieille qu’elle n’y parait, elle a été bâtie en 1960.

100_8279100_8281

Il me fallait au moins une fois y grimper. Et le prix du ticket en valait le coup.

Un reflet lointain mais puissant à gauche. Et un triangle jaune qui se retrouve perché à une centaine de mètres de hauteur.

100_8302100_8303

Et un autre, qui domine sur toute la partie Sud de la ville (l’autre étant au Nord). Sans conteste les plus hauts triangles jaune de tout les Pays-Bas! A droite, une vue au travers d’un hublot de l’ascenseur-cabine rotative qui va venir se placer tout en haut du mât. Nous sommes hauts!

100_8325100_8304

Et puis enfin, la vue panoramique. Je n’ai pas eu besoin de bouger l’apn, la cabine rotative s’en chargeant toute seule. Fichier jpeg de 2.2 Mo.

panoramacomplet-nacelle-euromast-medres

Et la version ENORME (8.3 MO) : PanoramaComplet

Et puis je suis passé brièvement devant le Kunsthal, musée d’art contemporain, oeuvre de l’architecte Rem Koolhaas. Je n’ai pas pu rentrer à l’intérieur.

kunsthal-museum

En revenant vers le métro, je suis passé devant un magasin qui fait dans de « l’antiquité » marine. Comme cette lunette astronomique en cuivre. Ou bien des instruments de mesure de l’heure et de la pression.

100_8334100_8335

Mais aussi un ballon à air chaud façon Jules Verne, et un dirigeable, le grand Hidenbourg.

100_8336100_8337

Voilà, c’est tout pour le moment. Je pense multiplier les sorties un peu architecturales comme celles-ci, y a pas mal de choses à voir.

Hop!

Aucun commentaire • Expédié le 11 avril 2009 à 00:22 dans Capharnaüm