Voilà, ayant retrouvé la toute première version de mon site dans les tréfonds de mon disque dur de mon PC, au fin fond d’une sauvegarde de mon tour premier PC en 2005, je me décide, vu que désormais il y a pas mal de chemin accompli, et que je viens juste de passer les 4 ans de celui-ci, je me décide donc à faire une revue des différentes versions de mon site web.
Je commence avec la Version 1 qui était un site uniquement basé sur du HTML ancienne génération, et structuré avec des tableaux, la chose à ne pas faire justement. Tout fait avec du Mozilla Composer. Mis en ligne fin Août 2005 mais j’avais bossé dessus quelques mois auparavant. Menus horizontal, en en-tête et en pied-de-page. La bannière un peu tarabiscotée se voulait être une métaphore du traitement d’images, dans le sens de la lecture. Comportant une galerie pour exposer mes travaux d’imagerie encore balbutiant, deux tutoriels, une petite présentation des rovers et de la façon dont ils font leurs images.
Mais cette version est remplacée début 2006 par la Version 2. Celle-ci se caractérise par la mise en place de la mise en page par feuille de style « CSS » et un relooking complet avec l’apparition d’un menu vertical à gauche et de quelques effets de « hover ». Mise en place d’une « hotnews » en page d’accueil pour aller voir les dernières images. La galerie subit également quelques modifications et surtout, les images de Spirit et Opportunity sont clairement séparées.
La Version 3 arrive une petite année plus tard, en 2007. Elle apporte quelques effets visuels comme une image d’arrière-plan qui est changé régulièrement en fonction de l’actualité. L’apparition de vrais boutons en png et un petit coup de balai dans le code qui contenait encore pas mal de déchets de la V1. Pour la galerie, face à une augmentation du nombre d’images, séparation de celle-ci selon leur année de traitement. Apparition d’une page consacrée à mes publications.
Et puis la V3.4 avant le passage à la Version 4 qui évacue les bordures et fait place à de nouveaux boutons (qui auront subit 3 variations) et une nouvelle bannière plus propre. Nouveau coup de balai dans le code pour l’harmoniser (encore pas mal de déchets). Il n’y aura finalement pas de version anglaise développée (trop compliquée à mettre en place). Notez l’annonce façon Apple. Roh, on a bien le droit de s’amuser! 😀
En Avril 2009, durant une petite heure, on pouvait voir cet écran qui servait à prévenir au cas où quelqu’une tomberait sur mon site. Une barrière pour éviter de voir un site en pleine actualisation, que ce soit dans le fond comme dans la forme.
Et donc, la Version 4 arrive et apporte une nouvelle interface, adaptée du thème de mon blog (qui est lui-même très fortement inspiré de l’esthétique de Mac OS X). Retour si je puis dire à un menu horizontal. Des sous-menus contextuels apparaissent sous forme d’onglets en bas de la bannière (également changée). Bandeau d’actualité en flash réalisé avec Keynote. Code HTML allégé au maximum et vérifié ainsi que tapé entièrement avec Dashcode, très pratique pour éditer ce qui est CSS, HTML ou même JS. Mieux que le TextEdit. Je ré-écris le message d’accueil et refond complètement les articles du site (nouveaux schémas, précisions, tutoriels enrichis). La galerie d’image n’est pas en reste avec un « lightbox » en accueil de la galerie résumant mes images favorites, accès simplifié aux rovers et aux années plus visuel (les images sont reclassées non pas en fonction de l’année de traitement mais de l’année de transmission. Refonte de la page des liens externes, ainsi que de ma présentation personnelle. Mise en ligne des mes publications. Liaison avec mon site « db-prods » facilitée avec le bouton « Accueil » qui sert à centraliser mon blog et Marsrovers Images.
Donc voilà pour cette petite revue des différentes versions de mon site personnel. Ça fait un peu « autopromo » mais je trouve intéressant de montrer comment un site peut évoluer.
Avec une image panoramique en date du même Sol et montrant la manoeuvre autour du rocher Block Island. Incrustation 3D du numéro du Sol tout simplement. Rien d’autre.
Voilà, pour le moment, juste la photo désormais rituelle de mes bagages complets avant le retour sur Marseille.
Demain, à 9h, je serais à la Centraal Station pour prendre le bus pour Paris où je passerais la nuit avant de repartir Dimanche en soirée pour Marseille. Actuellement, j’ai la chanson de Eddy Mitchell « La Dernière Séance ».
Je suis donc dans un état d’esprit très nostalogique.
PS : article qui sera complété plus tard.
Comment s’y retrouver? Sous l’impulsion d’un personne sur internet me demandant de l’aider à s’y retrouver, je suis parti pour faire un schéma explicatif.
Finalement, il y aura 3 schémas, étape par étape. Ceci devrait vous aider à bien comprendre les conditions de visibilité des nuages noctulescents, de l’aspect rougeoyant tardif du ciel causé par les nuages de poussière et de dioxyde de soufre provenant d’un volcan, et du ciel étrangement rayé observable peu avant et après le coucher du Soleil.
Tout d’abord, il faut savoir que bon, la Terre est ronde (non, sans blague???). Que se passe-t-il alors deux heures avant le lever du Soleil (ou deux heures après). Les exemples ne sont valables que lorsqu’il y a les nuages/poussières recherchées. Sinon, c’est pas la peine. Les flèches jaunes montrent le trajet de la lumière du Soleil.
Ceci :
Les NLC situés dans la mésosphère à une altitude moyenne de 80km capturent très rapidement les premiers rayons du Soleil alors que l’observateur est encore dans la nuit et que seules les 1ères couches de l’atmosphère sont exposées à la lumière solaire. Ces NLC reflètent une petite partie du rayonnement et les font devenir visible et arrivent à bien contraster sur un fond de ciel encore sombre.
Mais plus tard (ou plus tôt), ce sont les couches plus basses de l’atmosphère qui attrapent les rayons du soleil. Ainsi, les particules situées dans la troposphère arrivent à refléter les rayons solaire alors que le NLC s’évanouissent sur un fond de ciel clair. Dans le même temps, l’incidence des rayons n’est plus suffisante pour les rendre bien visible. Par contre, les nuages volcaniques reflètent bien la lumière solaire et il en résulte une aube précoce ou un crépuscule tardif.
Et puis lorsque le Soleil va faire son apparition, les rayons du Soleil passent au travers des nuages volcaniques et les rendent visible par effet de transparence (les zones les plus denses étant les plus sombres). Il va de soi que les NLC sont inobservable dans une telle configuration.
Voilà, j’espère que cela pourra aider certains à s’y retrouver dans ce véritable jeu de lumière qu’est le crépuscule ou l’aube.
Belle surprise cette nuit en étant distraite par quelques flashs bien lumineux côté NO. Après une rapide consultation des radars pluie et détection foudre, j’en déduisis qu’un petit système orageux approchait.
L’occasion pour moi de prendre quelques photos.
Le cliché le plus réussi de la soirée est celui de gauche conteste. Celui de droite souffrant d’une mise au point merdique, j’ai du le rattraper tant que je pouvais pour l’affiner, à grand coups d’ondelettes et de contraste.
Et puis quelques extranuageux timides. L’image de droite a des couleurs un peu étranges à cause d’une modification de la balance des blancs de l’apn (« éclairage artificiel » comme il dit). Résultat, une teinte vert-bleu irratrapable.
Et puis une image qui se veut plus esthétique prise lorsque la pluie s’est abattue fortement. Passage en noir et blanc pour créer une ambiance un peu sombre et sinistre.
Voilà, ayant fini d’installer tout mon système de Gardiens autour de la Terre, je peux faire le pack d’add-on pour Celestia afin que vous puissiez voir ça de façon plus interactive que de simples captures d’écran statiques.
Et deux nouvelles images des Anneaux vus du sol.
La première image montre la rue où j’ai vécu une bonne partie de mon enfance et toute mon adolescence, la maison parentale étant située à droite de la prise de vue (hors-champ). La seconde vue prise dans le NE de la France, par une froide matinée de Janvier. Remarquez à droite et à gauche les contrée plongées dans l’ombre des anneaux, le point de vue étant situé pile dans une des divisions de l’anneau Alpha.