De nuit, avec la pleine Lune, et la coupure orientale des Anneaux bien visible. Ceux-ci sont assez bas sur l’horizon du fait de la latitude de Rotterdam.
Au début du mois, la sonde Rosestta, qui doit explorer les corps vagabonds du Système Solaire, est passée près de la Terre pour profiter d’un effet de fronde gravitationnelle, méthode couramment utilisée quand on veut se déplacer parmi les planètes.
Rosetta a donc pris un portrait dramatique de notre planète et son système d’anneaux. La partie éclairée correspond l’Antarctique et le pôle Sud.
Et son centre commercial, le 26 Octobre.
J’ai simplement posé mon apn avec son mini-trépied sur le tapis roulant incliné, qui permet d’accéder au parking situé sur le toit du supermarché. Up and down.
Et puis depuis le toit, panoramique sur le ciel crépusculaire rayé par les Anneaux éclairés par en dessous en cette période après l’equinoxe d’automne, et la station service en bas.
Voilà, je n’ai pas pu résister, il me la fallait, et je l’ai eut.
La nouvelle souris d’Apple qui promet l’apport du multitouch sur un pointeur physique (un peu comme l’iPhone ou le trackpad des derniers Macbook et Macbook Pro).
Donc l’emballage ouvert. On remarque direct le contraste un peu vif entre le carton brut et le boîtier de la souris, un peu comme un écrin. A droite, le boîtier en plastique qui montre un très beau niveau de finition.
Une fois le boîtier ouvert, on découvre un double fond avec un tout petit manuel traduit en plusieurs langue dont le français bien évidemment.
Et la Magic Mouse. Sur les images du site d’Apple, on voyait pas que le dessus était en fait transparent avec le dessous couleur blanche. Le dessous n’est ni plus ni moins que de l’aluminium. Partie brillante + Alu, la formule désormais obligatoire chez la firme à la Pomme. Un très bel objet sans conteste !
Voyons voir en dessous. Avec à gauche la base avec deux patins -en Teflons- sans doute. Vers l’avant de la souris, le trou pour le capteur laser, et l’interrupteur on/off. Vers l’arrière, le clip servant à ouvrir le compartiment des piles.
Et la Magic Mouse ouverte, avec les 2 piles offertes. Simple et clair. J’ai un jeu de piles rechargeable lorsque celles-ci arriveront à leur terme (vu la consommation de l’appareil, je peux espérer tenir un certain temps avec).
Cette souris ne fonctionne pour l’instant qu’avec un macintosh tourant avec Mac OS 10.5.8 ou Mac OS 10.6.1. Apple propose une mise à jour pour que cette souris marche pleinement.
Une information à l’usage de ceux qui auraient installé le logiciel USBOverdrive. Veillez à le désinstaller complètement du système (du panneau des Préférences Système, le logiciel dans Application, et un fichier placé dans « [votre disque de démarrage]/Système/Extensions/ » nommé USBOverdrive.ext ou un truc comme ça). Sans quoi vous vous retrouverez dans la même situation que moi, avec un panneau de préférence classique ne proposant pas les options de cette souris.
Elle s’avère être d’une redoutable efficacité dans le défilement dans n’importe quelle fenêtre où y a du contenu à scroller. Pour ce faire, il suffit de faire glisser le doigts sur la surface, peut importe où il peut être. On oublie vite qu’il n’y a qu’un seul bouton tant la détection des doigts selon leur place est redoutable pour identifier un clic droit d’un clic gauche. La vitesse de déplacement du pointeur à l’écran s’ajuste en fonction de la vélocité que l’on applique à la souris. Ainsi, si l’on donne un coup sec, le pointeur peut parcourir tout l’écran, et si l’on va plus doucement, celui se déplace de façon plus précise. Il faut espérer qu’Apple propose une mise-à-jour pouvant étendre les fonctions de cette souris à un vrai multitouch pouvant fonctionner comme celui de l’iPhone (3, 4 ou 5 doigts, pincer pour zoomer, etc.).
Voilà, il faut que je m’habitue un peu à l’usage d’une souris car jusqu’à présent, je n’utilisais que mon trackpad.
Je suis passée sur ce lieu important à Marseille (et le passage obligé de tout bon touriste en mal de beaux monuments qui se respecte…) ce soir pour tenter de prendre une image du Canigou, un mirage atmosphérique qui rend cette montagne des Pyrénées-Orientales visible depuis Notre-Dame-de-la-Garde, fin Octobre et début Novembre. Le ciel en ayant décidé autrement, j’ai attendu qu’il fasse suffisamment « sombre » (il ne fait jamais nuit avec de tels projecteurs…) pour faire une image du fameux fort converti en église.
12 images pour obtenir un faux grand angle, travaillé dans Hugin et Gimp.
Et puis en « bonus », mais photographié un soir précédent, la vue sur un stade célèbre.
J’ai pris le temps de scanner les photos qu’il me restait afin de pouvoir les disposer sur ce blog. Il y a moins de photos cela dit, et la plupart partiellement voilées à cause d’une « fuite » de lumière dans le boîtier au niveau de l’enrouleur, défaut que j’aurais remarqué bien trop tard.
Pose B sur le bus 21 de Luminy, et mammatus à droite depuis Martigues.
Lors d’une nuit d’observation avec un ami sur le site de Riboux, sur la Sainte Baume, à l’Est de Marseille, deux suivis en parallèle pour saisir la Voie Lactée. Clichés traités pour enlever une partie du gradient lié à une pollution lumineuse bien visible au bout des 4-5 min de pose (et avec 200 iso je le rappelle). A gauche la région du Cygne, à droite la région de l’Ophiucius au dessus du Sagitaire, dont on voit quelques étoiles tout en bas.
L’éclipse partielle de Mars 2006. Image en afocal à gauche et setup à droite (mon 130/900 sur sa première monture, une EQ-2).
Séjour lors de ma Première Année à Barcelone, une ville que j’ai vraiment bien apprécié. Intérieur du Musée d’Art Contemporain à gauche, un vitrail d’une église de l’architecte Antonio Gaudi, et le Musée d’Art Moderne à droite.
Ci dessous, la Pedrera, maison de Gaudi également.
Et pour terminer, deux panoramiques impossibles à relier sans avoir recours aux technologiques numériques.
Luminy avec le Mont Puget à droite (encore lui????).
Et Barcelone de nouveau, pris depuis le parvis du Musée d’Art Moderne.