2ème jour de rencontre, et le dernier aussi. Je consacrerai cette journée à la découverte de lieu où est situé le gîte : Condom.

Le gîte tout d’abord, une ancienne cave à Armagnac. Vi vi. Et j’ai dormi à côté d’un immense pressoir à raisins qui était toujours là 🙂

Et je décide de faire une petite balade matinale alors que les températures commencent déjà à bien grimper.

Voici la Baïse, la rivière qui traverse la petite ville. Celle-ci est navigable et offre des activités de canoë.

Je photographie une libellule aux reflets bleu métalliques.

A cet endroit une retenue d’eau élargi la rivière.

Je découvre de magnifiques recoins qui m’évoquent soudain la Comté.

Dans l’après-midi, je décide de me balader au centre-ville, accessible facilement à pieds en longeant la rivière. Le Soleil est écrasant, il fait chaud (le station météo installée au gîte pour l’occasion relève environ 30°C).

Sous l’un des deux ponts qui enjambe la rivière. Reflets solaires.

Depuis le pont, je photographie la ville. Le ciel est impeccable, d’un bleu puissant, la lumière franche.

Et puis je me dirige vers ce que je pense être la vieille ville. L’église qui y trône attire mon regard.

Voici l’édifice de plus près.

Il s’agit de la cathédrale Saint-Pierre. De l’extérieur l’édifice est somme toute assez sobre.

Excepté le pavillon de l’entrée du bâtiment.

Je fais le tour de la cathédrale. Je découvre un cloitre attenant au bâtiment.

Je m’y rends et découvre de belles arcades avec des voutes en croisées d’ogives.

La place centrale, à ciel ouvert d’ordinaire semble-t-il, est occupée par une pagode qui la recouvre entièrement. Et s’intègre parfaitement aux lieux selon moi. Il s’agit vraisemblablement d’un dispositif installé pour la saison estivale destinée à accueillir des spectacles.

Je regagne l’extérieur, et sa chaleur étouffante. Je fais un coucou aux statues de métal des Mousquetaires.

Et puis, je décide de visiter l’intérieur de la cathédrale, ne m’attendant pas à grand chose au vu de l’aspect dépouillé de son extérieur. Je serai frappée par la beauté architecturale de l’endroit !

De véritables dentelles de pierre m’y attendent.

Je laisse mon regard parcourir la complexité géométrique de l’enchevêtrement de croisée d’ogives, et autres arcs brisés.

Le vitraux sont de dimensions colossales, très lumineux et colorés.

La rosace.

Je resterai un petit moment à l’intérieur, profitant de la fraîcheur de l’endroit et de sa beauté.

Je regagne l’extérieur, et le Soleil de plomb du Gers.

Et revient par le chemin le long de la Baïse.