De Martigues à Bergerac

Ce week-end (les 6 et 7 Janvier), avec ma mère nous sommes descendues à Martigues pour y déposer mon frère (il s’installe à Aix-en-Provence). Si à l’aller je n’ai pas pu vraiment réaliser de photos, notamment car nous étions passé-e-s par l’autoroute, au retour on a pris une autre route, qui se calque pratiquement intégralement à mon périple de 2008 nommé Marseille-Bergerac. Et ramener quelques clichés.

Martigues. L’étang de Berre. Cela faisait depuis fin Août 2013 que je n’avais plus vu cette endroit. Et je fais découvrir ce paysage à mon 70D, qui n’a connu principalement que Dijon et Bergerac. C’est le matin, le Soleil est à peine levé. Un vent de Sud-Est souffle fortement. Dieu que cet endroit m’avait manqué !

Zoom sur la Sainte-Baume, au loin dans les brumes. En avant-plan, la surface de l’étang, fortement ridée par le vent.

Martigues et l’uns de ses ponts.

Juste avant de partir pour Bergerac, cliché au 10-20. Il me fallait le faire.

En route pour Sauve et Le Vigan. Des étapes du Marseille-Bergerac dont je me souviendrais tout le temps. 

Ce triangle jaune collé à Sauve, est là depuis 10 ans. Il est écorné, fendu, des parties manquantes, mais il est toujours là, malgré le climat de la région, alternant entre épisodes cévenols et fortes chaleurs provençales.

Cette route est l’une des nombreuses routes que j’ai traversé à pieds en 2008.

Et deux photos depuis ce pont en pierre qui traverse une gorge au fond de laquelle coule un tout petit ruisseau, qui doit probablement se changer en torrent lors d’épisodes méditerranéens.

On traverse les Cévennes puis le Larzac pour déboucher en vallée du Tarn ou trône la ville de Millau et son viaduc. Temps très agité, beaucoup de vent, de la pluie, de la grêle.

Le viaduc dans le lointain et dans les brumes. Cet ouvrage reste toujours aussi impressionnant.

Je me concentre sur le ciel vraiment tourmenté ici. Ciel précurseur d’épisodes orageux assez intenses sur toute la région Provence et Roussillon.

Dernière photo avant la tombée de la nuit, en Aveyron à deux pas du Cantal. Le point culminant de notre voyage et la bascule entre la zone d’influence méditerranéenne et atlantique.

J’espère pouvoir revenir vers Martigues voire mieux, Marseille pour de nouveau m’imprégner de ces endroits, qui me manquent terriblement.

Un commentaire Ajoutez le votre

  1. Jacques Silvestre dit :

    bonjour
    tu sais j habite la tout pres de martigue et j aime que tu aimes c est une belle region reviens y vite
    bises

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.