Cela faisait longtemps n’est-ce pas 😉
Faut dire que longue fut l’attente, et surtout avoir enfin une opportunité d’y aller (financièrement parlant), et pouvoir profiter de ces merveilleuses rencontres entre passionné-e-s de météo. Avant je faisais de façon quasi systématique le séjour sur sa totalité. Ici, c’est -malheureusement- loin d’être le cas, étant donné que je n’ai séjourné que durant 2 jours et demi. Donc formule un peu courte, j’espère pouvoir faire plus long lors de la rencontre hivernale.
Cette rencontre nationale se déroulait à Condom, dans le Gers, et se déroulait du 23 au 30 Juillet 2016. J’y ai pris part du 28 au 30 Juillet (le 30 jour du départ, le matin donc ce n’est pas tellement un jour à compter).
Le 28 Juillet, c’est à Toulouse que nous débarquons, à la Météopole, là où se tiennent les bureaux de Météo-France, ainsi que l’École Nationale de la Météorologie. Visite exclusive réservée à Infoclimat. Après un repas pris au réfectoire de MF, nous commençons la visite. Tout d’abord, le bâtiment qui abrite les prévisionnistes (entre autres).
On change de bâtiment et ce que l’on nous propose de voir c’est une soufflerie.
Avant, une photo d’un antique instrument : un héliographe, destiné à la mesure de l’ensoleillement (sa durée et son intensité au long de la journée).
Et donc, voici la bestiole : un tube assez imposant, qui ressemble à un gros sèche-cheveux, mais qui est en fait une soufflerie (un très petit modèle), qui est capable de produire des vents jusqu’à 180 km/h, et destinée à tester de nouveaux instruments, notamment et surtout des anémomètres, afin de voir si ceux-ci sont fiables.
Après la soufflerie, un petit tour dans le parc à instruments.
Non pas ça. Vous noterez qu’il fait un grand Soleil.
Oui voilà, ici, sur cette immense pelouse.
Et avec le groupe de gens.
Et avec ma trombine fatiguée.
Une fois cette petite visite terminée, on doit aller à l’ENM, afin de. Non faut lire la suite en fait ^^
Afin de voilà. Se retrouver sur des postes informatiques, avec triple écran, pour manipuler Synopsis. Qu’est un logiciel qui possède un peu de tout : radar pluie, imagerie satellite, observations en temps-réel, mais aussi des modèles, notamment Arôme et Arpège, les modèles issus de MF, qui sont tout bonnement de très bons modèles. Et ce logiciel est franchement excellent, j’ai pris un grand plaisir à l’utiliser !
Et c’est ainsi que ce se termine cette belle et instructive visite de la Météopole de Toulouse.
Sur le chemin du retour, aperçu du Gers, dont un papillon que-je-sais-pas-ce-que-c’est.
Ah !! mais je connais bien ce site, j’y passe devant tous les jours.
Même si l’électronique a remplacé l’héliographe mécanique, je suis entrain d’en construire un .